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2012-08-26 | Triathlon de Vouglans | * | 19 |
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Vouglans : 3ème plus grande retenue d’eau artificielle de France. Une couleur extraordinaire entourée de falaises d’une centaine de mètre pour contenir l’Ain. Bref, un bel endroit à 1h de la maison pour faire un beau triathlon.
Le départ est prévu à 10h30 : bon horaire pour discuter avec David, Yves ou Gwen de Pontarlier, Bois d’Amont ou Morbier. 190 personnes au départ : ça change des autres grandes courses et c’est très sympa et convivial. Nous descendons donc, vers la plage de départ à pied : l’eau est à plus de 24°C : pas de combinaison. Le départ se donne hors de l’eau et ça ne grogne pas pour sortir : c’est bien. Départ sans soucis, sans baston, il y a de la place, chacun à son rythme : je trouve le mien très bien, en essayant de m’appliquer puisque l’on peut nager correctement. Les bouées sont hautes, la visibilité bonne. Finalement le temps sera moyen en 38’ je sors 66ème de l’eau à 10’ des premiers : un peu comme prévu.
La sortie du parc est pentue puis on attaque par la côte de St Christophe très pentue et courte mais qui ne permet pas de se mettre en jambes. La suite est une succession de bosses et de descentes dans lesquelles je ne prends pas de rythme et où je me fais même doubler par un B’twin jaune et bleu du plus bel effet : le matos ne fait pas tout pour lui comme pour moi. La 2ème boucle nous fait prendre la direction du barrage de Vouglans, là aussi par des routes légèrement vallonnées et peu fréquentées tant par les voitures que par les concurrents très distants les uns des autres. Au pied du barrage il faut remonter une côte de 6.5 km : je commence à rattraper quelques cyclistes. Petit moment de répit jusqu’ après Moirans où la 2ème côte nous attend, moins difficile : je double toujours. Le retour au parc est plutôt descendant : en s’appliquant les sensations sont là. Le temps est là aussi assez moyen en 2h42’ je suis désormais 30ème.
A la transition j’oublie mon Garmin et fait demi-tour pour le récupérer. Le début est valloné et forestier dans les chemins autour du parc. Ensuite on franchit le pont de la Pyle pour retrouver la route sur les hauteurs du lac. La vitesse est bonne mais irrégulière en fonction des dénivelés. Les écarts sont toujours conséquents et je rattrape de temps en temps un coureur. Je ne baisse pas de rythme et reprend un dernier coureur sur la fin pour finir le semi en 1h27 à la 19ème place au général à 30’ du 1er.
Je suis un peu déçu du résultat global surtout par la partie cycliste. Certes ce n’était pas un objectif prioritaire, situé 6 semaines après Zürich après une période de vacances et de reprise. Comme le dit Stéphane c’est juste un palier intermédiaire pour remettre le pied à l’étrier.
Points positifs : la partie pédestre et le fait que les 20 premiers étaient récompensé : c’est toujours un peu gratifiant de monter sur le podium chercher sa récompense : ça n’arrive pas tous les jours et surtout pas à tout le monde. |
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